Enfants et écrans, à la recherche du temps perdu...
Elle décrit « l’hyper connexion » subie des enfants et ses conséquences pour leur santé, leur développement, leur avenir. Mais aussi pour notre société en général.
Elle rappelle que les écrans contribuent, directement ou indirectement, aux déficits de sommeil, à la sédentarité et au manque d’activité physique, à l’obésité ainsi qu’aux problèmes de vue.
Elle souligne qu’il n’existe pas à proprement parler « d’addiction aux écrans » reconnue par la science, mais que les écrans et les réseaux sociaux sont des facteurs de risque supplémentaires lorsqu’il y a une vulnérabilité préexistante chez un enfant ou un adolescent, notamment de dépression ou d’anxiété.
Elle dénonce les risques d’enfermement provoqués par les bulles algorithmiques, et incite à déconstruire les représentations stéréotypées véhiculées sur les réseaux. Elle rappelle également que les dangers liés à la pédocriminalité n’ont jamais été aussi élevés.